Prix ​​du pétrole que l'Arabie Aller et le Yémen escalade des combats

LONDRES - Les prix du pétrole ont fortement augmenté jeudi en raison des craintes que la lutte dans la péninsule arabique entre l'Arabie saoudite et les rebelles Houthi au Yémen pourrait perturber l'approvisionnement. Les inquiétudes au sujet d'une éventuelle perturbation, qui selon les analystes est peu probable à ce stade, que viennent la demande de pétrole est plus fort que prévu, provoquant les commerçants à accorder plus d'attention aux préoccupations géopolitiques. "L'importance de ce est peut-être que le marché a commencé à réagir aux risques d'approvisionnement géopolitiques une fois de plus, une tendance qui a été absent ces derniers mois," les analystes de Aspects énergétiques, une firme de recherche de marché basée à Londres, a écrit dans une note clients. Le prix du pétrole West Texas intermédiaire brut, le principal indice de référence américain, a augmenté de 4,5 pour cent dans les échanges matinaux, le jeudi à $ 51,44 le baril et le Brent, la référence de la mer du Nord largement utilisé, a augmenté de 4 pour cent à $ 58,70.
Tous deux ont augmenté de plus de 10 pour cent depuis qu'il a atteint les bas pluriannuels ce mois. La flambée des prix le jeudi suite à l'annonce de l'Arabie saoudite mercredi soir qu'elle lançait des frappes aériennes contre le Yémen, son voisin du sud, en coordination avec d'autres pays de la région. Les grèves, qui ont continué jeudi, ont commencé que le Yémen a glissé vers la guerre civile et les rebelles Houthi, qui ont reçu le soutien de l'Iran, étaient près de se emparer du port méridional d'Aden, où le président du Yémen, Abdu Rabbu Mansour Hadi, se était caché .
Bien que les Saoudiens ont dit qu'ils suspendaient l'aviation civile dans le sud du royaume, près du Yémen, les combats est un long chemin depuis les principaux centres saoudiennes de production de pétrole dans l'est et pose peu de danger pour l'énorme industrie pétrolière il, selon les analystes. Plus préoccupante est l'emplacement du Yémen sur les Bab el-Mandeb détroit, un point d'étranglement étroite entre le Yémen et l'Afrique à travers lequel pétroliers et autres navires passent comme ils la tête autour de la péninsule arabique et jusqu'à la mer Rouge vers le canal de Suez. Si cette route ont été fermés, les navires auraient besoin pour aller autour de l'Afrique, un voyage beaucoup plus.

En termes de marchés pétroliers, le risque principal du conflit est une nouvelle réduction de la production pétrolière modeste du Yémen, qui a chuté à seulement 130 000 barils par jour l'année dernière, moins d'un tiers de ce que le pays produit à un pic en 2001, en raison des perturbations et manque d'investissements. La production du Yémen ne est qu'une infime partie de la production mondiale et est peu susceptible d'être manquée. Mais la demande globale de pétrole est en cours d'exécution plus forte que prévu, selon les analystes, que les raffineurs en Asie et ailleurs sont démarrage de l'essence et d'autres produits pour satisfaire la demande. Alors que le marché se dirige vers ce qui devrait être une période doux avec la fin de l'hiver dans l'hémisphère Nord et aux raffineries prévus pour arrêter pour l'entretien, la consommation plus forte que prévu huile pour tout de conduire aux réserves du stockage, à ce qui apparaît comme prix d'aubaine , peut tempérer prévu de nouvelles baisses de prix.